Bientôt à la galerie, Vincent Chéry

EXPOSITION : 18 MAI – 2 JUIN

Vincent Chéry est un jeune artiste parisien, exposera ses dessins 

Qu’il s’exprime sur des petits format ou sur des fresques, le trait de l’artiste est à la fois incisif, acide et emprunt d’humour noir. Chaque dessin foisonne de détails et raconte une histoire. L’humain est au coeur de son travail.

C’est à Paris qu’il s’exerce aux fresques murales avec Kraken, ainsi qu’au dessin. En 2008 il fonde un duo avec son ami, RDLS, et développe et diffuse sa pratique dans plusieurs lieux (les ateliers Wonder, La Jarry).

En 2016 Vincent s’ancre dans une pratique plus personnelle, et participe à des résidences à Paris, en Inde et à Lille (Villa Belleville, Dune, Flow). En 2018 il s’installe à Carrare (Italie) mettant en terre ses racines et nouant des liens avec une facture plus traditionnelle de la fresque. En 2021, de retour à Paris, Vincent est invité par Stephane Blanquet à exposer ses travaux au Musée de la Halle de St Pierre pendant 3 mois. Sa pratique du dessin est infusée de l’humour noir de Roland Topor et de la fantasmagorie d’Emil Ferris.

Chéry a exposé à Paris, Carrare, Bruxelles, Amsterdam ou encore New-York … et Ville sur Jarnioux .

Le vernissage de l’exposition aura lieu le samedi 18 mai (à partir de 18h)

Et en soirée,  concert de  Fantazio accompagné de Yurie Hu, Francesco Pastacaldi . « À l’origine du mouvement pop sombre humaniste du XIIe siècle, Yurie Hu, Francesco Pastacaldi et Fantazio chevauchent de nouvelles ampleurs souterraines pour faire danser ce qui compte : tout le monde ! (…)  Son style musical, ses improvisations, vont du jazz contemporain, au rock’nroll et au punk, qu’il accompagne de chants, parfois torturés, sur des textes poétiques ou philosophiques, dans différentes langues. »

« COCHONS »

Il était une fois Trois petits cochons… cela aurait pu être le titre de la prochaine exposition à la galerie Chybulski.

 

Le cochon (le porc) est omniprésent dans nos sociétés, tantôt sympathique (le cochon rose tirelire), tantôt symbole de vice ou de saleté (manger comme un cochon, balance ton porc …). On le trouve dans nos assiettes (rôti, pâté, saucisson) … ou pas, dans le calendrier chinois, ou encore dans des théories économiques (le cycle du porc).

Dans l’art, l’animal est présent dès l’antiquité (peintures murales en Égypte, céramiques), au Moyen-âge (Dürer), puis au 19 ème siècle dans des scènes champêtres idylliques. Après la deuxième guerre mondial l’ambiance change, l’art devient plus radical, avec Rauschenberg ou même Wim Delvoye, qui tatouera des cochons vivants !

La galerie a donc décidé d’aborder à son tour ce sujet et convié une vingtaine d’artistes à travailler sur ce thème du cochon.

Pierre Bonetto, Jean Branciard, Johann Brandstetter, Françoise Carron, Vincent Chery, Jean-Michel Debilly, Numa Droz, Geneviève Garcia-Gallo, Philippe Serguei Ivanejev, Christian Jacques, Andreas Knaebel, Gérard Maillot, Christophe Martin, Britta Matthis, Nathalie Millpa , Fabrice Minel, Christine Poirier, Torsten Prothmann, SP38, Thérèse Rozwadowska, Uli Traunspurger et Winfried Veit on relevé le défi et présenteront chacun 1 à 3 pièces (peintures, sculptures, gravures …).

Le vernissage de l’exposition se déroulera le samedi 16 septembre à partir de 18h.

Vers 20h un petit concert sera donné par Benjamin Colin (percussionniste, bruiteur, performeur) .

On l’a découvert à la galerie lors d’un concert avec Fantazio, puis avec JouJou (avec Agnès Pinaqui) ; cette fois il performera en solo !

Exposition à découvrir du samedi 16 Sept. au dimanche 1er Oct., les vendredi, samedi et dimanche de 15h à 19 h ou sur rendez-vous